[Test] Max : The Curse of Brotherhood

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[Test] Max : The Curse of Brotherhood

Max : The Curse of Brotherhood vous raconte l'histoire d'un jeune garçon légèrement blasé par le comportement envahissant de son petit frère. Alors qu'il venait de rentrer de l'école et ne souhaitait que se détendre tranquillement dans sa chambre il dût une fois de plus supporter les gamineries de son cadet qui n'avait de cesse de lui lancer des jouets au visage. Après une petite recherche sur Internet portant sur le fait de faire disparaitre son petit frère il eu le malheur de lire une incantation qui eu pour conséquence d'ouvrir un portail dimensionnel d'où une main gigantesque apparu pour enlever le jeune Félix. Ni une ni deux, Max sauta à travers le portail pour tenter de sauver son frère, c'est ici que tout débute.

[Test] Max : The Curse of Brotherhood

Si au départ Max ne peut que se déplacer, s'accrocher à des cordes et échelles et bien évidemment sauter, il fera vite la connaissance d'une personne qui va lui offrir une arme très puissante. En effet il va apprendre de ce singulier personnage que son frère a été enlevé pour que le grand méchant prenne possession de son corps afin de ne pas mourir de vieillesse et qu'il puisse continuer sa conquête du monde. Fort heureusement le dernier acte de ce sage fût de confier son âme à Max dans l'arme de son choix, ne disposant que d'un feutre, il en fût ainsi et notre jeune ami devint l'heureux propriétaire d'un feutre magique.

[Test] Max : The Curse of Brotherhood

Si dans l'épisode précédent mettant Max et son marqueur en scène, il était possible de dessiner ce que bon vous semble avec, on est bien loin dans ce titre d'une telle liberté. Vous allez continuer votre avancée au travers de 7 chapitres qui ne vous demanderont pas moins de 7-8 heures de jeu pour en voir le bout avec les capacités susmentionnées. Néanmoins le marqueur offre de nouvelles possibilités qui seront débloquées au fil de l'aventure c'est à dire faire apparaitre divers éléments comme des piliers de terre, des lianes, des jets d'eau et j'en passe à des endroits précis pour vous permettre d'avancer plus ou moins sereinement.

[Test] Max : The Curse of Brotherhood

Si le jeu se veut être une petite aventure plutôt calme où la réflexion prime sur l'action, la donne change considérablement lors de certaines phases où le rythme s'accélère, ne vous laissant que peu de temps pour réagir, le jeu s'apparentant davantage à un Die and Retry lors de ces moments de stress. Il y a des passages que j'ai du recommencer de nombreuses fois en raison de l'imprécision de certains sauts de Max mais également du changement de rythme qui surprend la plupart du temps. Fort heureusement les Checkpoints sont nombreux et les vies illimitées.

[Test] Max : The Curse of Brotherhood

Graphiquement le jeu est joli avec une modélisation 3D réussie. En ce qui concerne la bande son elle colle bien à l'univers du titre à mi chemin entre la mort permanente et la promenade de santé. Côté Gameplay on dirige Max aisément malgré certaines imprécisions et en ce qui concerne le marqueur il suffit de tenir une gâchette enfoncée tout en bougeant le même Joystick que celui pour déplacer Max. Un peu perturbant au début, l'action ne s'arrête pas lorsque l'on décide d'user du marqueur, il faudra bien garder cela en tête car le Timing s'avère parfois serré lors de certains passages.

[Test] Max : The Curse of Brotherhood

Max : The Curse of Brotherhood est un jeu de plateforme / réflexion très sympa se déroulant dans un monde à l'ambiance me rappelant celle de Max et les Maximonstres en moins sombre. On lui reprochera des sauts pas toujours bien calibrés et une difficulté en dent de scie mais il n'y a rien d'insurmontable et le jeu reste très plaisant. Les plus convaincus pourront même se lancer dans la recherche de collectibles afin de le compléter à 100%. Proposé entre 15€ et 25€ selon la plateforme, sa durée de vie en fait une bonne affaire si vous aimez le genre et n'êtes pas allergique au fait de ne pas y jouer sur votre support de prédilection pour faire quelques économies.

 



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