[Test] Dreamals : Dream Quest
Dreamals : Dream Quest est un de jeu réflexion assez original dans lequel vous devez guider des petits animaux à travers des tableaux. Jusque-là, c’est assez simple et banal… sauf que vos animaux ne se déplacent que dans un sens chacun… Certains vont à droite, d’autres à gauche, d’autres peuvent sauter, etc… Et lorsque vous arrivez à faire se rencontrer ces petites créatures bien kawaii, elles fusionnent et adoptent les mouvements des créatures fusionnées.
J’en reviens souvent à ma référence en la matière qui est Vikings sur Amiga. Mais ici Dreamals apporte un véritable renouveau au principe avec une dose de machiavélisme de la part des devs ! Le dernier puzzle-game à m’avoir séduite était le très original VHS (voir mon test). Dreamals, c’est très fun, c’est bourré de pièges et nécessite souvent de longues minutes de réflexion… (Bien entendu tout est chronométré !).
Coté sonore, c’est tout aussi bien réussi que les 5 esthétiques que l’on rencontre au fil des niveaux. C’est clairement du travail de professionnel. Et je prédis un grand avenir à cette licence. Il existe un autre jeu plus ancien que je n’ai malheureusement pas pu tester (voir le test d'aquab0n) mais de ce que j’en ai lu c’était lui aussi une grande réussite.
Il y a une foultitude de tableaux avec des niveaux très variés à l’intérieur (ou l’inverse…), les graphismes sont soignés, mignons et bien pensés. Je note que les éléments de décors ressortent bien, il n’y a jamais de confusion entre un objet mobile et un élément de décoration. C’est tout de même 80 niveaux de pur bonheur (ou de torture selon les affinités !) qui vous attendent avec comme toujours les sempiternels items à collecter… Je ne vais pas vous dire qu’on fait tout d’une seule traite, car il faut faire une pause tous les 4-5 niveaux sous peine de jeter la PS4 par la fenêtre avec l’écran ! Mais on ne peut pas s’empêcher d’y retourner tellement c’est bon. On se prend au jeu et honnêtement, c’est tellement rare de tomber sous le charme d’un jeu qui n’est pas à licence…
Foncez, c’est du pur bonheur pour les méninges et le pire c’est qu’on en redemande !
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