[Test] Pretty Girls 2048 Strike

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[Test] Pretty Girls 2048 Strike

Pretty Girls 2048 Strike est un fantastique jeu de réflexion difficilement classable. A mi-chemin entre Tetris et Colums avec une dose de je ne sais trop quoi qui fait pendre la sauce. Il s’inscrit dans la collection des Pretty Girls dont j’ai réalisé plusieurs tests avec la particularité, pour une fois de véritablement mettre l’accent sur la réflexion.

Le principe est simple, il s’agit de faire des séries comme dans les Tetris Like avec des cases identifiés par un chiffre. Ce chiffre, commence généralement par un 2. Si vous assemblez deux cases dont la valeur est identique, (un autre 2 donc…) les deux cases disparaissent au profit d’une nouvelle avec le chiffre 4. Puis 8, puis 16, puis 32 etc… je suis allée jusqu'à 512 mais pas au delà. En effet, cela parait simple au début.

[Test] Pretty Girls 2048 Strike

En fait, les valeurs inscrites dans ces cases, sont un indicateur. Cet indicateur correspond au nombre de point de dommages qui seront appliqués à la case cible (généralement au milieu de la zone de jeu) lorsqu’elles entreront en collision. Le but est donc de dégommer cette case cible. Tout le monde me suit ? Cette case cible représente la Pretty Girl du niveau. Beaucoup moins sexy que les autres jeux de la gamme, ici, on se focalise davantage sur le gameplay et le défi que représente ce jeu à haut niveau. La mécanique est assez dynamique et il ne faut pas très longtemps pour s’approprier l’ensemble des stratégies.

La zone de jeu est assez petite au début. Et bien évidemment au début, il n’y a pas beaucoup de cases à fusionner mais de nouvelles cases font leur apparitions entre chaque mouvement. Et après quelques heures de jeu, cela devient très stratégique. Plus vous avancez et plus les cases seront difficiles à fusionner. Plus vous avancez et plus il y aura de cases neutralisées par l’ennemi pour vous empêcher de le tuer.

[Test] Pretty Girls 2048 Strike

Concrètement, il faut évaluer les dégâts, le nombre de coups pour les augmenter tout en fusionnant d’autres cases pour éviter la saturation de la zone de jeu. Si la zone est saturée, la partie est terminée. Et pour compliquer les choses, la cible pourra occasionnellement neutraliser temporairement une case supplémentaire et aléatoire… Ca peut donc vite tourner au drame alors que tout se passait bien avant ça. Pire encore, par moment, peuvent s’inviter dans la partie d’autres cases de personnages qui viennent en quelque sorte protéger la Pretty Girl à éliminer. Généralement plus faciles à tuer, on apprend vite à les neutraliser. En contrepartie on dispose également d’un pouvoir qui permet de mélanger la grille de jeu. Très dangereux, à utiliser qu’en dernier recours car, cela peut aussi bien vous permettre de perdre plus vite que de gagner…

Fort heureusement, en cas de mort, il est toujours possible de reprendre au dernier Stage.

[Test] Pretty Girls 2048 Strike

On retrouve avec plaisir, le vestiaire qui vous permet de visualiser les jolies images débloquées. J’ai trouvé ce jeu carrément moins sexy que les autres pour autant, c’est celui qui m’aura rendue le plus accro par sa dynamique et le challenge progressif. Bien entendu, à chaque grille terminée vous gagnez de quoi déverrouiller de nombreux éléments dans le vestiaire.

J’ai bien aimé la bande son qui colle à l’action et donne la pêche. Bon il faut dire que cela reste un jeu casuel car si vous êtes comme moi, vous finissez par manquer de jeter la Switch contre le mur pour avoir perdu à 1 PV de tuer le boss… Du coup, les parties, beaucoup plus longues sur la fin, demeurent finalement moins nombreuses…

[Test] Pretty Girls 2048 Strike

Une fois le jeu terminé il reste encore des choses à faire. Il y a un mode de jeu (accessible dès le début) qui permet de jouer indéfiniment, jusqu'à la mort… Ce mode est clair, la partie est donc vouée à l'échec au final et la question qui se pose réellement c’est de savoir jusqu’où on pourra aller.

Encore une excellente surprise d’EastAsia Soft et accrochez-vous… c’est en français !

Article rédigé par Mlle_Krikri

 



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