[Test] Primal Carnage : Extinction

Publié dans #Tests jeux PS4

[Test] Primal Carnage : Extinction

Primal Carnage : Extinction ne raconte pas vraiment d'histoire mais repose sur un principe très simple. Il s'agit d'un FPS / TPS dans lequel deux équipes s'affrontent, celles des humains et celles des dinosaures qu'il vous est également possible d'incarner. Si ce mode match à mort en équipe est pour moi le mode de jeu le plus intéressant en ligne ou en réseau local, d'autres modes de jeu sont proposés mais restent assez classiques. Parmi les deux équipes susmentionnées, un total de 5 classes différentes sont proposées avec leur lot de capacités propres.

[Test] Primal Carnage : Extinction

Concernant les modes de jeu on retrouve le match à mort en équipe dont j'ai déjà parlé et dans lequel vous pourrez affronter d'autres joueurs sur un total de 13 cartes différentes. A la fin de chaque manche vous changez d'équipe passant des dinosaures aux humains et inversement. Lorsque votre vie est trop basse le jeu vous aide en vous indiquant l'emplacement de vie, l'absence de minicarte empêchant de repérer l'ennemi et de se situer facilement dans les niveaux. Lorsque vous mourrez vous avez la possibilité de changer de classe bien qu'il soit possible via le menu pause de changer d'équipe ou de classe à tout moment.

[Test] Primal Carnage : Extinction

Le mode survivre vous met à rude épreuve et vous demande en tant qu'humain d'annihiler des vagues de dinosaures de plus en plus nombreux et coriaces sur 3 cartes différentes. Le mode rendez-vous à l'hélico vous demande de compléter toujours en tant qu'humains divers objectifs avant de rejoindre l'hélicoptère pour vous enfuir d'une des 5 cartes proposées. Pour finir le dernier mode de jeu vous permet simplement de jouer librement pour visiter les niveaux et affronter des joueurs sans décompte de points, juste pour le fun en somme.

[Test] Primal Carnage : Extinction

En ce qui concerne les classes de personnages les humains peuvent être éclaireur, scientifique, commando, pyromane et trappeur chacun disposant de deux armes interchangeables et de consommables comme des grenades ou des mines. En fonction de la classe, le personnage bénéficiera d'une précision, d'une portée et infligera une somme de dégâts différents. Vous aurez en tant que dinosaure le loisir d'incarner un tyrannosaure, un novaraptor, un ptéranodon, un dilophosaure et un carnotaure. Chacun dispose de deux attaques distinctes et d'un cri de renforcement ainsi que d'une résistance et d'une mobilité différentes tout comme les dégâts qu'il inflige. D'autres races de dinosaures sont disponibles mais ne changent presque en rien, si ce n'est physiquement, de celle déjà mentionnées.

[Test] Primal Carnage : Extinction

En terme de réalisation le jeu n'est pas exceptionnel, les dinosaures sont vraiment beaux mais les humains sont très rigides. Graphiquement c'est dans l'ensemble correct même si on remarque de nombreux bugs de collision, notamment avec les dinosaures. La bande son n'a rien de mémorable mais le Gameplay est plutôt accessible pour tous si ce n'est celui du préranodon qui, lorsqu'il vole, n'est pas aisé à contrôler et rend la caméra un peu folle. Concernant la durée de vie elle dépendra de vous car le jeu se joue exclusivement à plusieurs sans réel scénario ni objectif particulier hormis ceux des différents modes.

[Test] Primal Carnage : Extinction

Primal Carnage : Extinction dispose d'un concept très original et est plutôt facile à prendre en mains. Il y a en effet quelques petites choses à redire notamment au niveau des collisions des dinosaures et des décors qu'ils traversent littéralement ainsi que du manque de précision de ces derniers. De plus les joueurs choisissant leur équipe, ils peuvent se retrouver à 7 dinosaures contre un seul humain ce qui peut s'avérer gênant. Pour moi il manque un réel suivi des équipes et des modes de jeu en général car changer d'équipe en pleine partie simplement via le menu pause c'est un peu exagéré. Le jeu n'en reste pas moins extrêmement fun même si on notera le manque de classements, d'objectifs et d'un mode de jeu en écran splitté. Pour preuve j'ai tout de même réussi à convertir un ami à ce jeu alors qu'il est loin d'être un grand fan de jeu de tir à la première comme à la troisième personne.

 



Commenter cet article